mardi 6 septembre 2016

[Chronique] Un jour peut-être?

Un jour peut-être?
Colleen Hoover


Partenariat Interforum Éditis Canada
Édition Hugo & cie
374 pages




[Quatrième de couverture] À 22 ans, Sydney a tout pour être heureuse : des études passionnantes, le mec parfait, Hunter, et un superbe appartement en coloc avec sa meilleure amie Tori. Jusqu'au jour où elle apprend que ces deux êtres qui lui sont le plus chers lui cachent un secret impardonnable... Sydney décide alors de tout plaquer. Elle se rapproche de plus en plus de Ridge, son mystérieux voisin. Elle vibre lorsqu'il lui joue ses magnifiques mélodies à la guitare sur son balcon. Mais chacun a ses secrets, et Sydney va découvrir ceux de Ridge à ses dépens. Ensemble, ils vont comprendre que les sentiments qu'ils partagent ne leur laissent pas le choix dans leurs décisions.

[Ma chronique] Étant le deuxième livre de Colleen Hoover dans lequel je me lançais, et puisque j’ai adoré l’autre (Hopeless), j’étais certaine de ne pas être déçue. Et malgré que j’aie préférée le style de Hopeless à celui-ci, j’ai effectivement bien aimé ma lecture.

Mon point fort? Avoir la chance d’écouter la trame sonore disponible sur internet en même temps que lire les paroles dans le livre ET avoir la traduction de ces paroles à la fin du livre. Ce fût une première expérience de ce genre pour moi, et franchement, j’ai adoré. D’autant plus que les chansons sont vraiment excellentes!
Cette auteure a vraiment un don lorsqu’il est question de nous transporter à travers des vagues d’émotions et elle n’y est pas allée avec le dos de la cuillère dans celui-ci. Effectivement, à plusieurs reprises, j’ai dû me retenir de ne pas pleurer alors qu’à d’autre moment, j’étais tout à fait emballée.
J’ai vraiment aimé cette histoire, aussi surprenante et belle que. Je crois qu’il est impossible d’oublier cette histoire, tant les personnages sont différents, attachants et que l’histoire est poignante. Le triangle amoureux est différent de ce que j’ai eu l’habitude de lire (car on ne se le cachera pas, c’est quand même courant dans les romans) et j’ai bien aimé la façon dont l’auteure a fait réagir certains personnages.
Ce ne fût pas pour moi un coup de cœur, mais j’en garderai un souvenir intense. Et tant qu’à y être, je me suis également plongé dans Maybe Not tout de suite après, pour avoir le plaisir de revoir ces personnages que j’ai appréciés.
Et voici une petite citation tirée au début de ce roman, qui m'a bien faite rire:
Il n'est pas très bien vu, dans une bibliothèque, qu'un membre du personnel se mette à pleurer et à jeter des livres contre les murs. - Sydney (page 58)



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